Publié dans Société

Réveillon du Nouvel an - Créer une ambiance avec un budget serré

Publié le samedi, 28 décembre 2024

La nuit du 31 décembre est devenue une fête populaire pour beaucoup. Elle réunit la famille et les amis proches. Chacun à sa façon de célébrer l’arrivée du Nouvel an. A l'église ou autour d'un verre, ou encore à travers un grand festin, l’important est d'accueillir la nouvelle année en beauté et entouré de ses proches. 

« Tous les ans, notre famille consacre un bon moment pour décorer la maison et préparer le réveillon. On a déjà passé quelques commandes pour les objets de décoration et les accessoires servant aux lumières, tout cela pour créer plus d’ambiance festive. C’est aussi une occasion de présenter les talents de tout un chacun, notamment dans la décoration, la cuisine ou encore l’organisation des fêtes. Toute la famille y sera présente », raconte Larissa, une mère de famille. Pour cette famille, la fête sera clôturée, le lendemain, c'est-à-dire 1er janvier par la distribution des cadeaux pour les enfants, des friandises ainsi que la présentation des vœux.

 

Comme cette famille, beaucoup ont décidé de rester à la maison pour organiser une petite fête, tandis que d’autres ont réservé des tables afin de passer une soirée dans un grand restaurant pour trouver une autre ambiance. « Nous avons réservé une table dans un restaurant afin d’accueillir la nouvelle année dans une ambiance conviviale, plus animée et entourée de ceux que nous aimons », dixit Mino. Beaucoup d’autres ont aussi l’habitude de célébrer la nouvelle année à l'église. Ces gens préfèrent se livrer auprès du Seigneur afin de recevoir une bénédiction pour l'année à venir. 

Malgré la hausse du coût de la vie, de nombreuses familles décident de faire de leur mieux pour s’adapter à la situation, tout en faisant la fête. Ainsi, beaucoup célèbrent toujours à leur manière la nuit du 31 décembre, tout en diminuant le budget y afférent. Dans les grandes surfaces, les produits locaux sont les plus prisés par les consommateurs. Les viandes et produits laitiers et bien évidemment les boissons se vendent beaucoup, comme les vins de qualité.

Surveillance policière renforcée 

Durant les fêtes de fin d’année, les boissons alcoolisées circulent partout. Cela va de pair avec les accidents de la circulation. Afin d’y remédier, la surveillance policière est renforcée en ville, au niveau des routes nationales et dans les périphéries. Des descentes sur terrain s’effectuent afin de sensibiliser les usagers à propos de la sécurité routière. Des tests d’alcoolémie seront également effectués dans les rues. L’objectif est de lutter contre les accidents de la circulation, tout en faisant la fête dans la sérénité. 

Comme à l’accoutumée, la Gendarmerie nationale, quant à elle, ne cesse de rappeler le minimum de responsabilité pour les transporteurs afin d’éviter tout risque d’accident durant le voyage. Avant chaque départ au niveau de la gare routière, tout devra être vérifié dont les feux, clignotants, pneus, essuie-glaces,... Par ailleurs, la nouvelle consigne dans l’article 51 du Code de la route, stipule qu’il est interdit d’utiliser des feux puissants et nocifs pour les yeux, tels que les phares LED. Les phares doivent être allumés lorsque l’on conduit durant la nuit. Pour un itinéraire supérieur à 700 km, il doit y avoir deux chauffeurs. L’Agence de transports terrestres (ATT) de rappeler que la hauteur des bagages de certains taxis-brousse dépasse encore les 80 centimètres réglementaires. Outre les problèmes techniques, la fatigue et la somnolence au volant sont les principales causes des accidents survenus sur les routes nationales. A cela s’ajoutent les surcharges, l’excès de vitesse et l’imprudence des chauffeurs. Quant à la Direction générale de la sécurité routière (DGSR), elle a renforcé les visites inopinées sur les routes nationales, la sensibilisation des transporteurs sur le respect du Code de la route ainsi que les différentes infractions routières. 

 

Anatra R.

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Editorial

  • Qu’on se le dise !
    La France recommande le retrait de la loi relative à la peine de castration. Soit ! La dite loi serait, dit-on, en contradiction avec le principe du respect des droits humains ! Qu’on se le dise, la France serait-elle le pays le mieux indiqué pour dispenser des cours sur le respect des droits de l’homme à l’endroit d’un tiers sinon à l’adresse d’un pays comme le nôtre ? C’est à voir !

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